vendredi 31 octobre 2008



D'un coté du ring, nous avons la Celtia bénéficiant du monopole du marché depuis 1951 (un bout de temps disons) et une sacrée connaissance du marché local .



De l'autre côté c'est la Golden Brau, une marque commercialisée sur le marché depuis hier et qui fait donc ses premiers pas sur le marché tunisien.


Au delà de toute considération culturelle, d'éthique ou religieuse, ces deux marques se disputent un marché juteux qui présente une moyenne de 10 L de bière par habitant et par an.


Toutefois, ce produit est encadré par une interdiction de publicité donc les marques sont dans l'obligation d'adopter une approche alternative.

Rappelons que le Bouche-a-oreille, est un bruit généré autour d'une marque, un produit ou un événement. Contrairement au Buzz, généré par un effort marketing, le BAO est généré spontanément.

Pour revenir à notre cas, La Celtia ayant développé une grande notoriété et un capital "sympathie" auprès de ces consommateurs, la marque s'est vue promu spontanément à travers de groupes sur FB (ici, ici, ici ...)
De son coté, le challengeur, collaborant avec la JWT, s'est investi sur facebook à travers la création d'un groupe pour faire connaître son produit et provoquer un léger Buzz.
Bien évidement ce n'est pas de la "publicité", c'est juste un groupe qui réunit les "amateurs de vraie bière" :)

BAO ou Buzz? là n'est pas la question, qu'on condamne ou pas l'industrie des boissons alcoolisées,une preuve de plus qu'Internet et les réseaux sociaux présentent une vraie opportunité à saisir par les marques tunisiennes.

lundi 27 octobre 2008



Plus qu'un simple phénomène de société en Tunisie, les réseaux sociaux numériques se sont imposé sur la toile à travers le monde ce qui a engendré tout un univers virtuel régie par les internautes.
De vrais catalyseurs de la diffusion des messages publicitaires sur le Net, les réseaux sociaux présentent une opportunité pour tout annonceur, opportunité qui n'est pas sans risque, comme nous l'a confirmé récemment le cas Sunsilk.

En ce qui est de notre cas, nous autres tunisiens, nous nous trouvons sous le règne de l'empire facebook (en bleu foncé) qui englobe presque tout le bassin méditerranéen et le moyen orient; une synergie à exploiter par les multinationales ayant une politique de communication homogène à l'international.

Donc la question n'est plus de savoir s'il faut être présent ou pas sur les réseaux sociaux mais comment y être?

Plusieurs marque tunisienne se sont déja lancé dans l'aventure (Tunisiana, Mezed, Duo ...)
L'empire facebook ouvre ses portes aux marques, alors how is ze next?

Etude réalisée par Oxyweb à travers Alexa